Les infections urinaires (IU) sont un problème de santé courant qui touche des millions de personnes chaque année, particulièrement les femmes. Lorsqu'elles se produisent à plusieurs reprises, on parle d'infections urinaires récidivantes (IUR). Cette page a pour objectif de vous fournir des informations essentielles sur les causes, les symptômes, les traitements et les mesures préventives pour gérer et prévenir les IUR.
Une infection urinaire récidivante est définie comme la survenue de deux infections urinaires ou plus en six mois, ou de trois infections urinaires ou plus en un an. Les infections urinaires peuvent affecter différentes parties du système urinaire, y compris la vessie (cystite), les reins (pyélonéphrite) et l'urètre (urétrite).
Les causes des infections urinaires récidivantes peuvent varier d'une personne à l'autre, mais les facteurs communs incluent :
Le traitement aux antibiotiques est malheureusement trop souvent appliqué et à pour conséquences de fragiliser le terrain immunitaire et appauvrir la flore intestinale.
La solution : Moduler le terrain avec des traitements naturels est une stratégie permettant de limiter voir stopper définitivement les récidives.
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Les troubles menstruels sont principalement issus d'un déséquilibre entre deux hormones clés que sont la progestérone d'un côté et les œstrogènes de l'autre. Si la balance hormonale est respectée aucun trouble majeur ne sera déclenché. Par contre si l'une ou l'autre de ces hormones devait prendre le dessus sur l'autre, il y a alors apparition de symptômes typiques d'une dysbalance hormonale.
La notion de climat hyper ou hypo œstrogénique ou à l'inverse hypo ou hyper progestéronique guidera sur le déséquilibre hormonal dominant et la conduite thérapeutique à tenir.
La prescription de plantes œstrogène ou progestérone "like" favoriseront le rééquilibrage hormonal. L'organothérapie, extraits ovariens ou hormonaux dilués et dynamisés, sont des alliés précieux capables de réguler les fonctions hormonales défectueuses.
Les symptômes de préménopause peuvent déjà se déclarer à l'âge de 30 ans. Une mauvaise hygiène de vie liée au stress, à la sédentarité et à une alimentation déséquilibrée fera le lit d'un déséquilibre hormonal précoce. Les symptômes seront variables, allant d'un inconfort bénin jusqu'au cancer du sein.
La dysbalance hormonale, entre les œstrogènes et la progestérone, induira des troubles divers comme : fatigue, prise de poids, bouffée de chaleur, perte de libido, maux de tête, cancer du sein... La correction de l'hygiène de vie sera un des piliers centraux de la prise en charge thérapeutique. La prise d'hormones bio-identiques et de phyto-hormones régulatrices corrigera les carences hormonales en éliminant les symptômes impactant la qualité de vie et protégeant également contre le cancer du sein.
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Le syndrome des ovaires polykystiques touche 5 à 10 % des femmes. Il est la conséquence d'un déséquilibre hormonal (hyperandrogénie) associé à un trouble métabolique (hyperinsulinisme). L'hyperandrogénie signifie un excès d'hormone masculine (testostérone) cliniquement détecté par une pilosité anormale (hirsutisme). L'hyperinsulinisme signifie quand à lui une résistance à l'insuline, synonyme de pré-diabète.
Les conséquences d'un SOPK seront la présence d'une dysovulation ou absence d'ovulation engendrant à la fois une baisse de la fertilité et une faible synthèse de progestérone via le corps jaune. Cette carence de synthèse de la progestérone induira une hyper-oestrogénie relative. Cette dernière engendrera des symptômes prémenstruels (SPM) typiques comme douleur dans la poitrine, ballonnements, rétention d’eau, irritabilité, maux de tête, etc.
Selon l'AE-PCOS Society, le diagnostique de SOPK est défini, dans la majorité des cas, par la présence à la fois d'une hyperandrogénie (clinique et/ou biologique) et d'un dysfonctionnement ovarien (oligo-anovulation et/ou ovaires polykystiques).
Une hyperprolactinémie est présente dans 35% des SOPK. Cette dernière va activer une enzyme (5-alpha réductase) qui va avoir pour conséquence d'augmenter le taux de testostérone libre engendrant une hyperandrogénie. L'augmentation de la prolactine est due à plusieurs facteurs dont un déficit en dopamine, un excès d’œstrogène, un déficit de progestérone, une hypothyroïdie, un hyperinsulinisme ainsi que le stress. On comprend alors que la présence d'un SOPK est la conséquence d'un déséquilibre systémique.
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